OGM : un des nombreux risques
Voici un des risques lié à l'utilisation intensive et en plein champ de cultures OGM :
Les OGM sont conçu pour être plus robustes aux diverses attaques extérieurs par transfert de gènes mortelles pour certains insectes par exemple.
Mais pour que cela fonctionne correctement, il faut que toutes les larves de ces insectes soient détruites. Sinon ? Et bien la nature faisant bien les choses, les insectes mutent afin de devenir résistants aux toxines produites par la plante génétiquement modifiée : il s'opère alors une sélection des plus résistants, les plus costaud étant les seuls à survivre et donc à se reproduire...
Au bout de quelques générations, les bactéries auparavant mortelles pour eux redeviennent aussi inofensives qu'un agneau...
Or, des chercheurs de différents labos et de différents pays viennent de montrer que certains OGM (le maïs Monsanto 810 pour ne pas le citer) voient leur concentration en insecticides fluctuer d'un plant à l'autre, mais surtout à un niveau situé au-dessous du minimum "légale" : "Pour éviter que des mutants capables de survivre n'apparaissent, la doctrine veut que la dose produite par la plante se situe à 25 fois la dose requise pour tuer 99% des insectes cibles".
A bon entendeur,
Les OGM sont conçu pour être plus robustes aux diverses attaques extérieurs par transfert de gènes mortelles pour certains insectes par exemple.
Mais pour que cela fonctionne correctement, il faut que toutes les larves de ces insectes soient détruites. Sinon ? Et bien la nature faisant bien les choses, les insectes mutent afin de devenir résistants aux toxines produites par la plante génétiquement modifiée : il s'opère alors une sélection des plus résistants, les plus costaud étant les seuls à survivre et donc à se reproduire...
Au bout de quelques générations, les bactéries auparavant mortelles pour eux redeviennent aussi inofensives qu'un agneau...
Or, des chercheurs de différents labos et de différents pays viennent de montrer que certains OGM (le maïs Monsanto 810 pour ne pas le citer) voient leur concentration en insecticides fluctuer d'un plant à l'autre, mais surtout à un niveau situé au-dessous du minimum "légale" : "Pour éviter que des mutants capables de survivre n'apparaissent, la doctrine veut que la dose produite par la plante se situe à 25 fois la dose requise pour tuer 99% des insectes cibles".
A bon entendeur,
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